Comment savoir si une fille est prête à être embrassée ? – Ép. 35

• Comment savoir si une fille est prête à être embrassée ?
• Que faire quand une fille intéressée commence à devenir distante ?
• Que faire quand une fille intéressée embrasse un autre mec devant toi ?

C’est ce que tu découvriras dans ce 35e épisode du CoachDrague Podcast.

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Ressources et liens mentionnés dans ce podcast

• La technique du comptoir pour l'exciter sexuellement : clique ici pour le podcast et ici pour l'article.
• Épisode 34 du CoachDrague Podcast : Avoir plein de femmes, de fun et de sexe en tant que mec lambda, est-ce possible ?
• Tu la veux, tu l'auras : comment séduire cette fille en particulier ?

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Comment savoir si une fille est prête à être embrassée : version texte

Voici ce que tu découvriras dans ce 35e épisode du CoachDrague Podcast :

• Comment savoir si une fille est prête à être embrassée ?
• Que faire quand une fille intéressée commence à devenir distante ?
• Que faire quand une fille intéressée embrasse un autre mec devant toi ?

Cher auditeur, dans l’épisode 34 du CoachDrague Podcast je t’ai parlé d’une fille que j’ai embrassée en soirée.

Embrasser une fille en soirée, pour certains c’est trois fois rien, pour d’autres c’est mission impossible.

Quoi qu’il en soit, j’ai décidé de dédier un podcast à cette histoire, car elle contient quelques éléments intéressants.

Nous sommes un samedi soir, dans le centre-ville de Bruxelles, dans le Délirium.

Le Délirium est une attraction touristique. Cet immense bar à trois étages est connu pour les plus de 2000 sortes de bières qu’on y vend et pour son ambiance déjantée.

Chaque weekend ce bar est blindé, même dans la rue c’est blindé de monde.

Nous sommes dehors, dans la rue. Je suis en train de discuter avec des amis. À ma gauche je perçois un groupe de 3 personnes. Un mec et 2 filles. Le mec et une des filles se caressent le dos et se font des câlins.

Parfait !

Ça me donne une bonne phrase d’accroche. J’aborde l’autre fille avec : « Je viens te tenir un peu compagnie, comme ça tu te sens un peu moins exclue de ton groupe. »

Elle s’appelle Camille, elle fait 1m70, elle a les cheveux mi-longs châtains et elle a de belles dents blanches…

Elle porte une longue veste brune, un pull et un jean.

Elle réagit bien à mon approche. Elle sourit.

Nous faisons connaissance, nous papotons, nous flirtons. Après quelques minutes, je lui demande de venir avec moi au comptoir pour chercher des bières.

Mes vraies intentions sont de la séparer de ses amis et de « l’isoler ».

Je la prends par la main et nous nous dirigeons vers l’extrémité du comptoir, là où le barman vient le moins souvent. Car encore une fois, mon but n’est pas de commander des bières, mais de passer du temps avec Camille sans qu’elle ressente de la pression sociale de ses amis.

Et bien entendu, j’y applique ma fameuse technique du comptoir.

Je me rapproche d’elle, je lui murmure des petits mots à  l’oreille, je lui caresse les cheveux, je l’embrasse dans le cou, etc.

Elle aime bien.

Elle rigole, baisse le regard et se rapproche quand je m’éloigne un peu.

Mais…

Elle ne se laisse pas encore embrasser.

Quelques instants plus tard, une autre amie nous rejoint pour commander.

Sa bande d’amis était plus grande que je ne le pensais.

L’amie détourne l’attention de Camille. Ce n’est pas qu’elle nous sabote volontairement…

Bref, je décide de ne pas forcer la chose et je retourne chez mes amis.

Avance rapide…

Mes potes et moi décidons de bouger.

Dans la rue nous recroisons Camille.

C’est une heureuse coïncidence, car j’avais lâché l’affaire.

Nous nous saluons et nous papotons.

Cher auditeur, veux-tu connaître une petite technique de drague sympa pour savoir si une fille est prête à être embrassée ?

Alors, écoute ça…

Quand tu te rapproches d’une fille et qu’elle ne recule pas, c’est bon signe.

Et c’est ce que je fais avec Camille.

Je fais un pas en avant. Elle ne recule pas. Je rapproche mon visage du sien. Elle rapproche son visage en retour. Ce qui est très bon signe.

Elle me donne carrément le feu vert.

Donc, tu te rapproches d’elle. Elle reste. Tu rapproches ton visage du sien. Elle ne bouge pas ou bien elle rapproche son visage en retour. Bingo ! Vas-y ! Tu peux l’embrasser.

Ou voici une variante…

Au lieu de te rapprocher d’elle, tu lui tends la main et tu la tires légèrement vers toi. Comme ça c’est elle qui vient vers toi. C’est subtil, mais ça change un peu le rapport de force. Ensuite tu fais pareil. Tu rapproches ton visage du sien…

Voilà, c’est une technique sympa pour tester si une fille est prête à être embrassée.

Revenons-en à notre histoire avec Camille.

Cher auditeur, écoute attentivement, car cette histoire prendra encore une tournure intéressante.

Donc, nous nous recroisons, nous papotons, nos visages se rapprochent.

Bingo !

Nous nous embrassons.

Le baiser n’est pas top.

Et je le lui fais savoir : « Ce n’est pas top. Tu dois plus détendre ta langue et tes lèvres et tu dois ralentir le tempo. »

Elle le perçoit comme un défi. Parfait !

Elle m’embrasse de nouveau pour se prouver.

Ce 2^e baiser est bien meilleur.

Entre les baisers et les câlins elle m’invite à venir avec eux dans un autre bar. J’accepte.

En cours de route, je fais également connaissance de son groupe. Le courant passe plutôt bien.

Mais…

Petit à petit elle devient plus distante. Son langage du corps se ferme.

Elle évite le contact visuel… Regarde de plus en plus ailleurs… Interagit de plus en plus avec son groupe et de moins en moins avec moi…

Apparemment, quelque chose ne va plus. Ça tourne au vinaigre.

Alors, cher auditeur, selon toi, qu’ai-je fait ?

Et toi qu’aurais-tu fait à ma place ?

Réfléchis bien…

Voici ce que j’ai fait…

Je me suis détaché du groupe.

Je les ai laissé partir ! J’ai laissé partir Camille.

Je les ai laissé partir, avant qu’elle ou le groupe ne m’éjecte explicitement.

Car une fois le rejet exprimé, genre : « Désolé, on préfère en rester là. » ou « Désolé, on préfère y aller entre amis. »…

… c’est quasiment impossible de s’en remettre.

Mais…

Heureusement, j’ai bien anticipé et il n’y a pas eu de rejet.

Peut-être même qu’avec mon départ Camille s’est sentie un peu délaissée ou abandonnée...

Ou bien elle était soulagée que je ne l’ai pas étouffée, que je lui ai donné l’espace dont elle avait besoin à ce moment-là.

Je les ai laissé partir. En plus, je savais très bien où ils allaient.

Je comptais quand même aller au même endroit. Alors, si on se recroise, ça serait soi-disant par hasard, genre « Ah ben, t’es là ? » « Oui, je suis là avec mes potes ? T’es là aussi ? Chouette ! »

Et comme ça on laisse aussi l’ambiance pesante qu’il y avait en cours de route, avant notre séparation, s’évaporer naturellement, sans y accorder beaucoup d’attention.

Une erreur dans une telle situation, c’est-à-dire quand tu sens la fille s’éloigner, serait d’essayer de s’accrocher à elle pour ne pas la perdre. Ça ne ferait que renforcer cette spirale négative. Ça ne ferait que l’étouffer davantage.

Une autre erreur serait de demander des explications : « Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qui se passe ? T’es bizarre ? Pourquoi tu te renfermes ? » Pareil, ça ne ferait que l’étouffer davantage. Il n’y a pas vraiment d’explication rationnelle ou logique. Tu vois qu’elle se referme, tu vois qu’il y a un changement émotionnel… C’est tout ce qu’il faut savoir.

Et il faut réagir adéquatement : dans ce cas, il faut répondre par de l’éloignement. Elle se renferme, elle a besoin d’espace, tu le lui donnes… Point.

Donc, après notre séparation en cours de route, j’appelle quelques potes et leur demande ce qu’ils comptent faire. Ils viennent au même bar.

Parfait !

Je les attends une dizaine de minutes. Et j’entre dans le bar.

Entre nous, cher auditeur, j’aurais bien aimé gagner « le combat ».

Voici ce que je veux dire par là…

J’aurais bien aimé emballer une autre fille devant les yeux de Camille.

Mais, à peine entré dans le bar…

… que vois-je ?

Sur le podium, je la vois dans les bras d’un autre. Ils s’embrassent langoureusement.

Mince ! Elle m’a devancé !

J’avoue, ça pique un peu.

Mais…

Un vrai guerrier ne se décourage pas si facilement.

Je continue à harponner à gauche, à droite.

Malheureusement, sans trop de résultats.

Avance rapide…

Je la vois danser sur la piste de danse avec ses amis et sans le mec. Je décide de me lancer !

Je me dirige vers elle, je mets ma main sur son épaule, je la retourne et je la prends contre moi pour danser.

Elle joue le jeu, mais je la sens un peu refroidie.

Je décide d’utiliser la même stratégie que dans le Délirium. Je lui dis : « Viens, on va prendre quelque chose à boire. » Mon but est, de nouveau, de la guider vers le comptoir afin de l’isoler.

Elle me suit.

Mais…

À ce moment, qui surgit de nulle part ?

Eh oui…

Le mec du podium.

Elle se retourne et ils échangent quelques mots.

Pour le fun, je dis à Camille : « C’est ton jour de chance. On va réaliser un de tes fantasmes : tu vas faire un trio avec 2 mecs. Enfin, tu vas réaliser une partie d’un de tes fantasmes : tu vas embrasser 2 mecs en même temps. »

Elle répond : « Non, ça ne m’intéresse pas. », se retourne et embrasse le mec langoureusement.

Et là…

Cher auditeur, qu’ai-je fait ?

Devine…

Qu’ai-je fait ?

Et toi, cher auditeur, que ferais-tu dans une telle situation ?

Réfléchis-bien. Et sois sincère…

Alors, je sais que dans une telle situation beaucoup de mecs s’avoueraient vaincus.

Game over !

Moi pas…

Je suis resté émotionnellement inaffecté. Je suis resté souriant et léger et j’ai attendu qu’ils terminent leur baiser.

Ils terminent leur baiser, je mets ma main sur l’épaule de Camille, je la retourne et lui dis : « Et maintenant on compare. »

Elle me répond : « Non, nous, on ne compare pas. »

Cher auditeur, qu’est-ce qu’elle veut dire ? C’est qui « nous » ? Elle et le mec ? Ou elle et moi ?

Je ne sais pas…

En tout cas, je décide d’interpréter son « nous » en ma faveur.

Et je lui réponds : « Tu as raison, nous, on ne compare pas. Viens, suis-moi. » Et je lui prends la main et je la guide vers le comptoir.

Et…

Elle me suit !

Le mec s’avoue vaincu et se barre.

À environ 1,5m du comptoir il y a de gros piliers.

Je la colle contre un de ses piliers et je l’embrasse.

Elle se lâche entièrement.

Ça a duré 5 minutes ou une demi-heure, je ne sais pas. Mais c’était super intime et intense. Nous étions carrément en train de faire l’amour debout.

À un moment elle était prête, prête à être consommée, prête à être prise, prête à être amenée ailleurs.

Elle avait envie !

Car, quand je poussais ma cuisse entre ses jambes, elle écartait les jambes et se frottait contre ma cuisse.

Mais…

Au lieu de saisir l’occasion, comme mentionné dans l’épisode 34 du CoachDrague Podcast, je me suis dégonflé.

Je me suis dit : « Allez Konsti, tu as déjà couché avec 3 femmes différentes cette semaine. Ça fait 3 nuits que tu ne dors pas à la maison. Ça suffit… »

Et quelques instants plus tard je suis rentré à la maison.

Le lendemain je l’ai regretté. Je me suis dit que j’aurais quand-même dû essayer de l’amener à l’hôtel.

Alors, cher auditeur, que faut-il retenir de cette histoire ?

3 points…

Premier point : quand une fille s’éloigne émotionnellement, ne lui résiste pas. Donne-lui l’espace dont elle a besoin. Ne t’accroche pas à elle, sinon tu risques de l’étouffer. Et tu ne feras qu’empirer les choses.

Deuxième point : quand une fille embrasse un autre mec, tout n’est pas perdu. Reste calme et continue avec le jeu de séduction.

Troisième point : va jusqu’au bout. Je me suis dégonflé au dernier moment et par la suite je l’ai regretté.

« Mais Konsti, les histoires d’une nuit ne m’intéressent pas. Je cherche une relation sérieuse. »

Si tu cherches une relation sérieuse, alors jette un coup d’œil à mon guide de drague Tu la veux, tu l’auras. Tu trouveras le lien vers Tu la veux, tu l’auras en dessous de ce podcast, sur le site du CoachDrague podcast.

Ensuite, que ce soit pour une histoire d’une nuit, un plan cul, ou une relation sérieuse, le processus de séduction reste plus ou moins le même. Tu parcours les phases de séduction. Tu injectes de plus en plus d’intimité dans ton interaction avec cette fille. Tu instaures de la tension sexuelle et tu essaies de conclure. Comme ça tu évites la « friend zone » et tu augmentes tes chances de convertir cette fille en petite amie.

Voilà cher auditeur, nous sommes arrivés à la fin de cet épisode. Si tu as aimé, alors abonne-toi au CoachDrague Podcast dans iTunes, via le flux RSS ou par e-mail.

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Je suis Konsti de CoachDrague.com

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On se voit dans le  prochain épisode !

Bonne drague !

Peur de l'humiliation ? Muahahahahaaa !

Faut pas avoir honte d'admettre que tu écoutes des conseils de drague. Ta réputation est quand même déjà foutue.

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