Ceci est un article dans la catégorie Histoires, anecdotes et comptes rendus. Le but de cet article n’est pas tellement d’éduquer et de t’apporter des conseils, mais avant tout de divertir et de documenter les expériences (réussites et échecs) de son auteur. AVERTISSEMENT : cet article peut contenir des éléments explicites, voire glauques. Si tu es de nature sensible et/ou si tu es de mentalité conservatrice, alors je te déconseille de le lire. Tu risques d’être choqué. Si tu es mineur, alors ferme cette page ou consulte un article d’une autre catégorie. Cette catégorie est uniquement réservée aux adultes. (Si tu es un chaud petit lapin mineur, alors je sais très bien que tu vas rester).
Cette semaine-là, je la faisais en mode “marathon” : un rendez-vous amoureux différent tous les jours qui commençait autour d’un verre et se terminait dans mon lit.
Les filles présentes à ces rendez-vous, je les avais rencontrées dans les soirées étudiantes surtout, dans la rue, par l’intermédiaire de mon cercle social ou parfois sur internet.
C’est l’histoire d’un mercredi soir assez banal dans la vie d’un dragueur compulsif, d’un séducteur acharné. J’avais donné mon rendez-vous du jour à la grand place de ma ville, vers 21h, comme toujours.
Un rendez-vous amoureux comme un autre…
La cible était Naomi, rencontrée et embrassée la semaine précédente dans une soirée étudiante.
On s’est installés dans un bar proche et on a discuté un peu. J’essaie de m’intéresser à ce qu’elle dit, ou du moins d’en avoir l’air, tout en restant détaché comme à mon habitude.
Elle terminait ses études dans les sciences, elle était ambitieuse, mais aimait sortir…
Bref, moi ce que j’ai surtout retenu, c’est son sourire et son air intrigué. Après notre bière, je lui propose d’aller se poser chez moi, avec mon assurance habituelle, qui l’empêche de dire non.
“Au moins les boissons seront gratuites”, lui dis-je alors.
Arrivés chez moi, je propose qu’on aille directement dans ma chambre pour ne pas déranger mes colocataires…
Elle et moi savons tous les deux ce qui va se passer et c’est fort excitant. Je ne l’embrasse qu’une fois arrivés dans ma chambre car je préfère garder un peu de tension, d’angoisse, de papillons dans le ventre avant que les choses se concrétisent.
Je m’assieds en premier sur mon lit, ce qui l’invite à me rejoindre à côté de moi.
Elle : “Tiens, tu joues de la guitare ?”
“Oui”, dis-je d’un ton ferme.
Je n’ai plus envie de discuter et je lui fais savoir
“Nous parlons de trop.”
Je l’embrasse.
À ce stade, les choses s’enchaînent naturellement. Mes mains se glissent en dessous de ses vêtements. Je me retrouve en elle très rapidement.
Il est 23h30, et mes pensées vont au rythme de mes va-et-vient : “Vais-je sortir ce soir ? Où vais-je sortir ce soir ? Qui vais-je baiser après ?”
Elle se rhabille, nous discutons cinq minutes et je me pose la question de comment lui demander de partir pour pouvoir m’adonner à mon délassement préféré toute la nuit : les rencontres. Mais aussi la rencontre de mon sexe avec celui d’une autre inconnue.
Surprise : elle prend elle-même l’initiative de partir. Elle doit se lever tôt le lendemain et cela arrange bien mes affaires.
Le temps de prendre une douche, manger un bout, virer les capotes usagées par terre, me poser pour écouter une bonne musique motivante (je deviens fou sur mon siège de bureau avec la musique à fond et mes voisins pètent les plombs), il est déjà minuit et demi.
J’enfile mes vêtements de guindaille et me voilà parti, seul et sobre, dans un univers parallèle, si différent de la journée, celui de la vie nocturne.
L’univers parallèle
Sur le chemin et dans la boîte, je croise des amis. Ils m’offrent quelques bières. Je m’amuse quelques minutes, mais mon obsession est là, me hante : je dois rencontrer des filles !
Cela se fera très rapidement.
En dansant rapidement avec un groupe de filles, je vois cette si jolie demoiselle au loin, en hauteur, qui me regarde.
Je ne sais pas ce que signifie ce regard et je m’approche pour en savoir plus.
Notons que je ne m’approche pas de n’importe quelle façon : je suis confiant, souriant et je me sens comme un roi dans son royaume.
“On se connaît ?”
Je n’entends pas sa réponse. Ou plutôt je ne l’écoute pas. Je m’en fous !
Moi ce que je veux, c’est danser avec elle. Je prends son bras, l’attire vers moi en la regardant dans les yeux, sensuellement, souriant, heureux. Après trente secondes de danse collé-serré, je l’embrasse, car j’en ai envie, et j’estime qu’elle est suffisamment réceptive et ouverte.
Voilà mon dilemme de l’instant : prendre son numéro et continuer à draguer et profiter de ma soirée ou la ramener chez moi ? Ce soir je suis fatigué, j’ai déjà baisé et je suis donc suffisamment satisfait pour arrêter la drague aujourd’hui. Je décide donc de la ramener chez moi.
Qu’est-ce que je dis à ce moment là ? Pas de formule magique. Je lui dis simplement qu’on pourrait aller se poser chez moi, en lui montrant mon excitation. Elle hésite un peu, mais je la chauffe et elle finit par accepter !
Mon lit encore chaud nous attend
Sur le chemin vers chez moi, on discute un peu. Elle pensait au départ que j’étais quelqu’un qu’elle connaissait, d’où le regard.
Blablabla.
Je suis fatigué, terminons-en !
Nous montons les escaliers.
Bientôt, Lara, je serai en toi, je te coïterai et je me sentirai comme un roi !
Nous ne perdons pas de temps. Hop, dans mon lit. Notre baise est à la fois calme et sauvage, un peu alcoolisée — quelques bières suffisent pour me faire tourner la tête — mais sensuelle.
Après ça, nous discutons et elle se sent coupable : la demoiselle a un copain.
A part ça, je me surprends à la trouver plutôt intéressante. Et pour une fois, c’est elle qui parle beaucoup d’elle et pas moi qui parle de moi. Je trouve ça original ! Je décide donc de la revoir plus tard…
Je prends son numéro avant qu’elle parte (je n’aime pas vraiment dormir avec les filles pour une question de confort : j’ai un petit lit d’étudiant) et je me fais un petit bol de céréales accompagné d’un morceau de classique qui m’apaise.
Puis je me laisse tomber dans les bras de Morphée, pour un lendemain frais pour les cours, le sport et les rencontres…
Bonjour Hippolyte,
J’ai proposé une vingtaine de rdv aux filles, et aucune n’a accepté .
Je suis chauve.
Thierry, tu crois que les femmes ont refusé parce que tu es chauve?
Salut Thierry !
Le fait que tu sois chauve n’a rien à voir là-dedans. C’est probablement ta manière de procéder qui est à revoir…
Dis-m’en plus si tu le souhaites. :-)
Hippo
Je pense comprendre que ce que “Euhhh” a voulu dire, et si c’est le cas, je partage son avis.
A la base, le tableau semble très intéressant : un ancien “looser”, qui a beaucoup travaillé sur lui-même et qui maintenant enchaîne les conquêtes.
En théorie, ça donne envie.
En pratique, tout ce potentiel est gâché par deux choses : d’une part, “le vide” des histoires et d’autre part, l’arrogance naïve.
Tout d’abord, le vide des reports de séduction. Ce qui serait intéressant, c’est d’avoir un oeil critique sur les opérations de séduction, l’analyse des choses etc.
Dans l’écriture, on sent surtout l’envie de validation. Mais je pense qu’il s’agit surtout d’un recadrage au niveau de l’écriture. En posant les questions différemment (“quel message ai-je envie de faire passer”), peut-être que le contenu serait plus attractif.
Ensuite, et c’est le plus énervant, c’est l’arrogance naïve. J’ai écouté le podcast où Konsti parle de ton e-mail et de nouveau c’est dommage.
C’est dommage car, à la base, il y a une grande motivation chez toi, une rage de vaincre, mais à l’instar des reports de séduction, tout ça est décrédibilisé par cette arrogance naïve :
“Je peux draguer qui je veux quand je veux” ; “je ne me prends jamais de râteau, même sur les sites de rencontres”…
Cela casse tout car on est encore dans la validation. Avoir un haut taux de succès, bien entendu, c’est la marque des bons dragueurs.. Mais sérieusement, prends plus de recul sur tes qualités et défauts.
Je pourrais t’amener dans quelques endroits où ton égo en prendrait un coup. De même, je pourrais te faire aborder d’autres types de filles (que celles que tu as l’habitude de fréquenter) et tu prendrais quelques “râteaux”. C’est la vie, c’est normal, c’est humain….
Je pense qu’en mettant l’égo de côté, le narcissisme, tu pourrais apporter beaucoup avec tes histoires !
Irmaji
Salut Irmaji !
Bien sûr que je m’en prends des râteaux, ça ne peut pas toujours prendre non plus!
Surtout que je prends très souvent des risques (sexualiser directement -parfois même en journée-, draguer une fille à côté de son mec, dans des très grand groupes d’amis, etc).
Parfois je tombe sur des filles qui ne sont absolument pas dans une humeur réceptive (genre elles sont en pleurs pour je ne sais quelle raison et je ne l’avais pas remarqué).
Si j’ai autant confiance en moi c’est parce que, oui je me prends des râteaux, mais je passe rarement une soirée sans ‘closer’ avec un bon paquet de jolies filles. Du coup, les râteaux, je les oublie très très vite. Ca me fait même parfois rire ou plaisir.
Une fille qui me dit “Dégage pauvre con”, ça m’arrive honnêtement plus d’une fois par semaine. Ca me dérange pas du tout, c’est différent et ça fait partie de ce jeu génial qu’est la séduction.
Un vrai dragueur se prend bien plus de râteaux que n’importe qui car il est toujours en train de séduire.
Pour moi un “Dégage pauvre con” n’est même pas réellement un râteau : je vais lui faire un sourire d’ange en lui demandant pourquoi elle me déteste. Puis je vais lui dire que moi je l’aime et je la prends dans mes bras.
A force d’être sur le terrain, à force de réagir avec les bons mots et avec le bon comportement, le râteau est quelque chose de flou qui ne représente plus vraiment quelque chose pour moi.
Parfois des filles me traitent de moche et je les embrasse aussitôt. Des fois je suis giflé. Je trouve ça rigolo et au moins j’ai l’impression d’avoir compté pour la fille l’espace d’un instant. Elle aura une bonne histoire à raconter. Je suis quand même content d’avoir dragué la fille et je ne regrette rien.
J’admets avoir des défauts dans mon game qui me pourrissent un peu la vie.
– Mon don-juanisme : je ne peux sérieusement pas m’empêcher de draguer une journée.
– Mon besoin constant de compagnie et d’être admiré = mon besoin de validation comme tu l’as dit.
– Le fait que, malgré que je sois un gros dragueur, je m’attache vite aux filles. Tomber amoureux de 10 filles à la fois ça fait mal et ça me déprime !
Ce sont des caractéristiques qui ne sont pas très “alpha male”.
Du coup, je mets un peu mon “problème” au service des autres. L’idée d’aider les autres grâce à cette passion qui prend de plus en plus de place dans ma vie me fait plaisir.
Les comptes-rendus ici servent à me faire un peu connaître.
Je suis sur l’écriture d’articles plus constructifs sur des thèmes et des conseils précis.
Exemples :
– Comment réussir un rencard pour finir au lit rapidement ?
– Comment “fastcloser” en soirée ?
– Comment “fastcloser” en journée ?
– Comment gérer les râteaux ?
– Comment sexualiser ?
Etc.
Merci pour ton commentaire !
Hippo
Merci à toi aussi pour ta réponse! ;-) Cela prouve que tu as beaucoup de jugeote!
Au plaisir de te lire,
Irmaji
J’approuve pas le personnage, désolé Konsti. Hippolyte me semble d’un cliché…
Le BG sportif clubber consommateur de nanas, naïvement sûr de lui…
Je le trouve vraiment pas à ta hauteur Konsti.
Un tel concentré de narcissisme, d’arrogance hollywoodienne, c’est ce genre de “doctrine de séduction” qui pourri les esprits. Et justement, sur coachdrague, l’esprit me semblait plus terre à terre et plus axé sur le quotidien…
Tant pis !
Il en faut pour tous les goûts. Konsti et moi avons un style fort différent, c’est vrai.
Je ne comprends pas trop ce qui te dérange étant donné qu’on est sur un site de séduction et qu’ici on est en plein dedans.
Mon histoire est on ne peut plus terre à terre : il y a quelques années je pleurnichais chez le psychiatre tous les 3 jours, à parler de mon anxiété généralisée, de ma phobie sociale, agoraphobie et je passe le pire
Aujourd’hui c’est tout l’inverse rien qu’en travaillant sur moi-même, en prenant des initiatives, en voulant changer les choses. Aujourd’hui, mon quotidien c’est voir des filles tous les jours et m’amuser car quand on a réussi un tel changement on veut en profiter.
Oui je suis narcissique, ça fait partie de ma personnalité. Ca fait d’ailleurs partie des choses que les filles aiment chez moi. Tant pis si ça ne plaît pas à certains. En termes de développement personnel, de séduction et de rencontres j’ai, je pense, beaucoup à apporter.
Hippo
Hello Euhhh, merci pour ton commentaire.
C’est ton droit, mais t’as tort. Hippo est formidable ! :-)
Oh que non ! Hippo est une perle rare.
BG, boff, ça va… Il est pas mal, mais ce n’est pas un bogoss.
Clubber, non.
Consommateur de nanas, oh que oui.
Naïvement sûr de lui… Sûr de lui, oui. Naïvement, hmmmmm ouais, peut-être.
Là je suis à 100% d’accord avec toi. Personne n’est à la hauteur du grand Konsti.
:-p
Non, sérieux, Hippo est probablement le meilleur dragueur que j’ai jamais rencontré.
Je ne sais pas ce que tu veux dire exactement par “esprit plus terre à terre et plus axé sur le quotidien”…
En tout cas, il n’y a aucune raison pour utiliser l’imparfait. Hippo ne vient pas remplacer quoi ou qui que ce soit.
Hippo est un nouvel atout, un nouveau renfort !
Tu verras, tu finiras par l’apprécier.