Ceci est un article dans la catégorie Fantasmes féminins. Le but de cette catégorie est de te titiller, de stimuler ton imagination et de te donner un petit aperçu de ce qui se cache réellement aux fins fonds de l’esprit d’une femme. AVERTISSEMENT : cet article est réservé uniquement aux adultes. Si tu es mineur, alors ferme cette page ou consulte un article d’une autre catégorie. Si tu es une femme et si tu souhaites partager (un de) tes fantasmes avec nous, alors publie-le(s) dans les commentaires ci-dessous. Si la qualité répond à nos critères (contenu, style, grammaire et orthographe), alors ton fantasme sera publié en tant qu’article.
Il me baise littéralement du regard.
Même quand je lui tourne le dos, je sens ses yeux qui me parcourent de la tête aux pieds, qui me caressent, me transpercent, me chatouillent, m’embrassent…
Et, une chaleur monte en moi.
Mes mouvements s’accélèrent au rythme de la musique . J’ondule mon corps comme pour répondre aux attentes de son regard.
Il ne tient plus et me rejoint sur la piste de danse.
Ses mains s’attardent sur mes hanches
Ses doigts essaient de s’introduire dans ma chair à travers le tissu de ma robe si courte, à la limite de la vulgarité.
Nous entamons une danse charnelle, collé l’un contre l’autre, ignorant le monde autour de nous.
Les heures passent, mais pour nous le temps s’est arrêté. Tout ce qui importe, c’est nos deux corps enlacés comme dans une promesse. Je sens ses muscles, sa sueur qui se mélange à la mienne, son parfum enivrant qui dégage toute la virilité que renferme son corps.
La soirée se termine et nous rentrons.
Sur le trajet, les gens autour de nous discutent, rient, crient… Je crois même avoir entendu une blague sur nous deux.
Mais, tout ce que je vois, c’est son regard de braise du coin de l’œil. Tout ce que je sens, c’est la caresse de sa main glissée subtilement derrière mon dos. Il parcoure le bord de ma robe des doigts. La robe qui dévoile la moitié de mon dos et qui cache à peine mes fesses.
Je reste silencieuse, attendant sagement de me retrouver seule avec lui.
Les gens descendent de la voiture l’un après l’autre, chacun devant chez lui.
À la fin, il ne reste plus que nous deux. Il se met au volant, je m’assois près de lui et sans prononcer un mot et il se dirige vers l’hôtel.
Devant la porte du bâtiment luxueux, il me regarde, s’attendant à me voir surprise.
Je lui souris comme pour lui dire : « Je n’attends que ça. »
Vite !
Il loue une chambre, nous nous précipitons et dès que la porte se ferme derrière nous, il m’attire brutalement vers lui et m’entoure de ses bras.
Ses lèvres cherchent avidement les miennes.
Nous nous perdons dans un baiser sauvage, primitif…
Ne pouvant plus attendre, je lève les bras. Il quitte mes lèvres pour les retrouver après avoir enlevé ma robe.
Sa chemise…
Crac !
Je la déchire…
… et j’entends les boutons se disperser partout dans la chambre.
Je mets mes mains à plat sur son torse brûlant. Ces muscles témoignent des années qu’il a passé à s’entraîner. Mes bras autour de son cou, je l’attire vers moi et me colle à lui.
Il cherche la fermeture de mon soutien-gorge, mais ne la trouvant pas, il le déchire.
Cet élan de force m’excite encore plus. Je m’agrippe à ses bras et avec ses mains sous mes fesses, il me soulève.
Je l’enveloppe de mes jambes.
Il me colle contre le mur.
Il ne m’embrasse plus, il me mord !
Tirant sur ma lèvre inférieure, je laisse échapper un long gémissement de plaisir.
Je parcoure ses cheveux de mes doigts…
Il renifle mon cou et y passe la langue comme pour me goûter.
Il me lance sur le lit et reste debout, devant moi, admirant le spectacle de mon corps à moitié nu.
Je cambre le dos pour lui exprimer mon impatience
Il s’agenouille devant moi, me tire vers le bord du lit et je me retrouve avec les jambes de part et d’autre de sa tête.
Je vibre à la simple imagination de ce qu’il compte faire de moi. Des vagues de chaleur me parcourent le corps en entier.
Ne voulant pas perdre de temps à enlever mes collants, il les déchire. Ma culotte cède de la même façon.
Et…
… commence alors une danse frénétique de sa langue sur ma chatte.
Je gémis !
Je cambre !
Mes doigts s’enfoncent dans le matelas.
Les siens s’enfoncent dans la chair de mes cuisses.
Je gémis plus fort !
Je CRIE !
Aux bords de l’extase, je sens un orgasme énorme monter en moi, me faisant tourner la tête que je jette en arrière.
J’attrape les draps et les porte à ma bouche pour contenir mes cris.
Rien à faire…
Ça vient.
Ça monte.
Ça s’amplifie.
« Non… Arrête ! »
J’explose !
J’explose sur son visage.
Un liquide luisant lui couvre le nez, la bouche, le menton…
Il arrête de me lécher.
Mais…
Mes secousses ne s’arrêtent pas.
Des vagues violentes me font vibrer de la tête aux pieds.
« Putain… Je ne le savais pas… »
J’essaye de contenir mes spasmes et tente de relever la tête pour le regarder.
En vain…
« Tu es une déesse ! »
Il ouvre sa braguette, m’embrasse et jette tout le poids de son corps sur le mien.
Je sens sa respiration.
Je sens sa bite entre mes lèvres.
Je sens ma chatte s’écarter doucement…
Lentement…
Mes ongles dans son dos musclé et viril, c’est mon signal !
Non, je ne veux pas qu’il adopte la douceur, pas maintenant…
Pas après ce qu’il vient de me faire subir avec sa langue.
Pas après cette promesse muette de plaisirs inattendus.
Pour toute réponse, il enfonce sa bite jusqu’au fond de ma chatte.
Je crie !
J’enfui mon visage dans son cou et il commence à aller et venir et moi tout en pétrissant mes seins de son torse.
Il cherche mon visage, ses lèvres retombent sur les miennes et il m’embrasse au rythme de ses va-et-vient.
J’enroule mes jambes autour de ses fesses et l’attire encore plus vers moi.
C’est comme si je voulais l’aspirer en entier en moi
Mon désir est si intense, si brutal, si fort…
Nos corps fusionnent pour ne devenir qu’un seul.
J’ondule mes hanches sous son poids. Je bouge de plus en plus fort sous lui, bien que son poids ne m’offre pas beaucoup de liberté.
Un nouvel orgasme monte en moi. Un orgasme encore plus fort, plus intense.
Je jette la tête en arrière et il s’attaque à mon cou, le suçant, l’aspirant, le reniflant, l’embrassant, le léchant, le mordant…
Je crie encore plus fort.
Je ne tiens plus…
Non, vraiment plus…
Non, non, non, pitié !
J’explose autour de lui…
… dans un dernier cri me vidant de toute mon énergie.
J’entends, à travers le brouillard qui m’entoure, ce grognement animal, ce grognement de Mâle…
Je sens son pénis vibrer à l’intérieur de moi, ses vibrations en accord à celles de mon corps.
J’essaye de respirer, de rassembler mes idées, de mettre un peu d’ordre dans ma tête.
Il sort de la douche, me rejoint sur le lit, m’embrasse lentement, doucement, langoureusement…
… et me regarde tendrement comme pour s’excuser.
Je lui souris et lui dis avec toute la douceur dont un corps vidé de toute son énergie est capable :
« Je sais. Ta femme doit surement t’attendre à la maison. Je ne veux pas qu’il y ait des malentendus entre nous. Rentre. C’est la première fois, mais ce ne sera surement pas la dernière. »
Il me prend dans ses bras.
Je me sens paisible, calme…
Je ferme les yeux et profite de ce corps qui s’entend si bien avec le mien.
Salut Konsti. J’ai ma petite amie qui à son anniversaire et je voulais ton aide pour lui écrire un message d’amour. Merci
Salut Arnaud, voici ce que je te propose : tu rédiges le message, tu le publies ici dans les commentaires et je te donne mon feedback.