Ceci est un article dans la catégorie Fantasmes féminins. Le but de cette catégorie est de te titiller, de stimuler ton imagination et de te donner un petit aperçu de ce qui se cache réellement aux fins fonds de l’esprit d’une femme. AVERTISSEMENT : cet article est réservé uniquement aux adultes. Si tu es mineur, alors ferme cette page ou consulte un article d’une autre catégorie. Si tu es une femme et si tu souhaites partager (un de) tes fantasmes avec nous, alors publie-le(s) dans les commentaires ci-dessous. Si la qualité répond à nos critères (contenu, style, grammaire et orthographe), alors ton fantasme sera publié en tant qu’article.
Elle est bandante.
Ses longues jambes croisées, son décolleté généreux, sa longue chevelure qui tombe en cascade sur son dos, ses doigts fins qui parcourent le bord de sa robe et ses lèvres pulpeuses qui sourient à chacun de ses mots.
Je ne peux plus regarder ailleurs. Elle m’hypnotise. J’imagine sa peau rosie par les coups de reins de son partenaire, sa chatte gonflée par le plaisir et son corps entier répondant à ma caresse.
Ma caresse.
Elle quitte le bar pour aller aux toilettes.
Je la suis, sans vraiment savoir pourquoi. Les lumières tamisées rendent sa peau dorée encore plus appétissante.
Devant le miroir, pendant que je cherche mon rouge à lèvre, elle me sourit et se rapproche de moi.
Je baisse le regard.
Elle est derrière moi !
Son corps effleure le mien, sa poitrine colle contre mon dos.
Dans un souffle qui met tous mes sens en alerte, elle me dit : « Je compte te déshabiller entièrement…. Te caresser les seins… Introduire un doigt dans ta chatte bien mouillée… Ensuite, je te laisserai goûter la mienne, pendant que mon compagnon te baisera comme une chienne. Il parait que j’ai bon goût. »
Comme pour donner plus de crédibilité à sa promesse, elle me caresse la hanche.
Je me retourne et me retrouve face à elle. Son sourire malicieux me trouble encore plus. N’osant pas la regarder dans les yeux, je murmure : « Je t’attendrai devant la porte. »
« Oh non, ma belle ! Je ne suis pas un moine pour avoir toute cette patience. »
Elle ouvre la porte et, à ma grande surprise, son compagnon pénètre dans les toilettes.
Il était là, depuis le début, à attendre son signal.
Ainsi, ils ont tout organisé.
Il verrouille la porte derrière lui. Et c’est là qu’elle se jette sur moi, me plaquant contre l’évier. Son baiser me fait perdre toute pensée cohérente.
Mes tétons se dressent, mon corps vibre et mon souffle s’accélère. Comme par enchantement, mes lèvres répondent à son baiser. Ma langue cherche la sienne et mes mains s’avancent pour l’attirer encore plus vers moi.
Sa jambe écarte les miennes pour se nicher entre elles et sa main relève ma jupe pour venir masser ma chatte.
Mais…
Mes collants font obstacle !
Avec un doigt, elle perce un trou dedans pour les déchirer. Ma culotte subit le même traitement. Tant pis, je vais rentrer les fesses en l’air.
Son partenaire, jusque là à la retraite, s’approche, comme un lion vers un troupeau de gazelles.
Des gazelles ? N’importe quoi !
À la façon dont elle l’a repoussé pour le faire patienter, on voit tout de suite qui dirige les actions.
Pendant qu’elle m’embrasse, elle déboutonne ma chemise.
Je ne garde sur moi que ma jupe relevée. Elle s’éloigne, inspecte la marchandise et dit : « Je t’avais dit qu’elle était bonne ! »
Son partenaire ne perd pas une seconde ; il sort sa grosse bite et commence à la caresser. Je m’agrippe des deux mains à l’évier et me soulève pour m’asseoir dessus, ouvrant explicitement mes jambes.
« Et coquine en plus ! »
Elle se rapproche de moi, commence à me sucer les seins et à me masser le sexe. Pendant que ses doigts creusent leur passage dans les chairs trempées de ma vulve, je gémis de plaisir et lance la tête en arrière.
Moi, qui n’ai pas fait l’amour depuis des mois, j’ai enfin d’autres doigts en moi que les miens. Je ne sais plus à quel moment les deux doigts se sont transformés en trois, puis quatre, mais ma chatte se dilate comme je ne l’ai jamais vu faire.
Des vagues de chaleur m’envahissent.
Je gémis. Je crie. Je râle.
Ma volonté m’abandonne.
Un orgasme gigantesque m’électrocute.
Pendant que mon corps se soulève et retombe sous l’intensité du plaisir, elle continue à lui faire subir le supplice de ses doigts.
Un dernier coup de main sur ma chatte et mes hurlements se transforment en sirènes, les yeux écarquillés et le visage tordu par un rictus de pure extase.
Elle se retire de moi, me laissant victime de mes spasmes.
J’aimerais reprendre mon souffle. En vain…
Deux mains viriles me tournent face à l’évier. Comme d’un accord préétabli, elle prend ma place sur l’évier et m’offre le tableau de son entre-jambe trempé.
M’obligeant à me pencher vers l’avant, son partenaire, jusque-là, simple spectateur, commence à me lécher de haut en bas, ramassant le nectar qui en coule. Aucun orifice n’échappe à la fouille. Il tient à tout recueillir. Mes jambes tremblent et il me retient debout par la force de ses bras.
J’approche mes doigts de la délicate vulve qui se présente à moi et les fais parcourir délicatement sur la peau dorée du pourtour. Elle frissonne.
Je continue à tourner autour sans vraiment m’approcher de la source de tous les plaisirs. J’entends un râle de frustration. Puis une main derrière ma tête m’oblige à m’avancer vers sa chatte et me plaque le visage contre ses lèvres.
J’hume le parfum qui se dégage.
Il m’enivre !
Impatiente de la goûter, ma bouche rejoint son sexe pour n’en faire plus qu’un. Je la dévore. Ma langue la fouille sans relâche. Je la pousse aussi loin que possible, essayant d’atteindre le fond.
Elle m’attrape les cheveux et m’enfonce le visage encore plus dans sa chatte. J’applique mes mains contre ses cuisses pour les ouvrir davantage. Du bout de l’index, je commence à masser son clito.
Pendant ce temps, l’homme derrière moi, encore plus excité par nos délires charnels, se dresse et pousse son pénis jusqu’au fond de mon vagin, m’arrachant un cri. Ses va-et-vient énergétiques me poussent à m’acharner sur le sexe si appétissant devant moi.
J’introduis un doigt en elle, mais découvre aussitôt qu’il ne suffit pas à augmenter son plaisir. J’introduis trois doigts !
Quoi ? Encore ?
C’est alors qu’une idée de génie me passe par la tête (je suis étonnée d’une telle clarté d’esprit alors que je me fais pilonner par cet étalon derrière moi) : j’introduis mon pouce et ferme le poing dans son vagin.
Elle crie.
Elle hurle !
Son partenaire se fige derrière moi, les yeux écarquillés, regardant avec étonnement la chatte s’ouvrir et engloutir mon poing en entier.
Son corps répond à cette intrusion par des secousses violentes. Elle se débat et essaie de reculer, mais rien à faire ; mon poing la suit comme collé à sa chatte.
Je recommence à bouger en elle.
Le souffle coupé, elle continue à subir l’assaut de mon poing.
Elle pousse. Et pousse encore.
Ça y est !
Je retire mon poing d’un coup et un jet translucide nous arrose.
À cette vue, son partenaire se remet à me baiser violemment.
Elle essaie de reprendre son souffle et de contrôler ses contractions.
Mais… Oh… Fuck !
Je vais jouir, je vais jouir. Ça vient !
Je m’agrippe à ses jambes et me laisse emporter par les spasmes violents de mon deuxième orgasme.
Alors que mon corps est sous l’emprise des secousses, le vidant du peu d’énergie qui lui reste, l’homme derrière moi se met à grogner comme un mâle alpha en train de montrer sa force et sa domination à sa meute.
Allongée par terre, je n’ai plus aucune notion du temps.
Je n’en peux plus…
BAM ! BAM ! BAM ! Des coups sur la porte.
Je me relève en titubant, reboutonne ma chemise et descends ma jupe. L’homme aide sa partenaire à descendre de l’évier.
Elle retombe sur ses pieds et essaie tant bien que mal de remettre de l’ordre dans ses cheveux. J’envie presque son compagnon de ne pas avoir autant de choses à régler. Il lui a suffi de remettre son pantalon, de passer une main dans ses cheveux et le tour est joué.
Dès qu’il déverrouille la porte pour tomber sur une file de femmes impatientes, je me faufile vers ma table. Mes amies sont surprises de me voir sans collants, mais aucune n’ose me demander ce qui m’a pris tant de temps.
Je les vois ensuite sortir, lui, tenant sa femme dans ses bras et elle marchant difficilement en se calant contre son torse.
Un serveur m’apporte un bout de papier et m’informe que c’est de la part de l’homme qui vient de passer la porte : « Merci pour ce merveilleux cadeau de mariage. Ma femme t’adore. Tu trouveras mon numéro à la réception. Demande simplement à contacter le patron. » ;-)